Hotel Bravo
NAPOLEON WASHINGTON
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Tu ne vas pas échapper à la question à laquelle tu dois répondre à chaque interview, pourquoi ce nom “Napoleon Washington” ?
Quel a été ton parcours avant de jouer sous ton propre nom et d’enregistrer cet album “Hotel Bravo” ?
On sent que tu as un rapport vraiment spécial avec ta guitare. Tu as une histoire particulière avec elle n’est-ce-pas ?
Cet album “Hotel Bravo” a été enregistré dans des conditions spécifiques loin des grands studios. C’est un vrai choix pour toi n’est-ce pas ?
Le travail sur le son est fondamental pour toi ?
Sur le site Internet du Blues Café, les auditeurs peuvent poser des questions à nos invités.
Vincent est guitariste et il te pose deux questions. La première, qu’il qualifie de “futile” est la suivante :
“Ton look est assez rock’n’roll, correspond-il à un mode de vie ou une philosophie particulière ?“
Vincent te pose une autre question plus technique :
“Certains de tes morceaux ont des passages en mineur, par exemple River of Tears, joues-tu en open tunning mineur ou es-tu adepte du jeu au doigt derrière le slide (ça s’appelle le Fretting behind the slide)?“
On sent que tes influences sont nourries par des bluesmen majeurs comme Charley Patton, Son House ou Blind Willie Johnson mais aussi d’artistes beaucoup plus contemporains qui s’illustrent en jouant de la musique acoustique comme Eric Bibb ou Keb’ Mo’. Quel regard portes- tu sur cette nouvelle génération ?
Tu nous avais parlé, il y a quelque temps, d’un projet assez pharaonique. Tu as pu le réaliser ?